«L’intelligence émotionnelle est la compétence du succès» avec l’expert Randy Lyman
Bonjour à tous ! Aujourd’hui, nous sommes ravis de partager une conversation enrichissante avec Randy Lyman, physicien, entrepreneur, auteur et leader en intelligence émotionnelle. Avec plus de 30 ans d’expérience, Randy allie précision scientifique et compréhension humaine. Sa carrière impressionnante inclut la création de plusieurs entreprises, dont l’une a été classée dans le Inc. 500 des entreprises privées à la croissance la plus rapide aux États-Unis.
Au-delà des chiffres et des histoires de réussite, Randy a consacré sa carrière à une question plus profonde : comment la conscience émotionnelle peut-elle transformer le leadership, les équipes et les résultats ? Auteur de « The Third Element: A Platform for Human-Centered Performance », Randy accompagne aujourd’hui des PDG, des équipes et des individus pour montrer comment l’intelligence émotionnelle peut créer de meilleurs environnements de travail et renforcer les liens humains.
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1. De la physique aux émotions : la science derrière l’intelligence émotionnelle
L’histoire de Randy commence dans un domaine inattendu : la physique. Après avoir créé une entreprise prospère de distribution de pièces automobiles, il a remarqué quelque chose de fascinant : les chiffres et la logique seuls ne pouvaient expliquer pourquoi certaines équipes prospéraient tandis que d’autres échouaient.
« Le pouvoir, » dit-il, « c’est la capacité d’accomplir un travail. Mais en tant que leaders, notre pouvoir dépend de l’efficacité de notre équipe – et cela dépend de notre connexion émotionnelle. »
Pour Randy, le leadership ne se résume pas à l’autorité ; il s’agit de servir son équipe. « Lorsque les gens se sentent soutenus, reconnus et compris, ils dépassent les attentes, » explique-t-il. « Ce sont les personnes qui font avancer les chiffres, et non l’inverse. »
2. L’intelligence émotionnelle comme KPI
Lorsqu’on lui demande si l’intelligence émotionnelle peut être mesurée comme les indicateurs de performance traditionnels, Randy sourit : « Pas directement – mais on peut mesurer les résultats. »
Dans son entreprise, il a mis en place un programme de reconnaissance entre collègues appelé Above & Beyond. Les membres de l’équipe nommaient des collègues qui allaient au-delà pour aider les autres. La reconnaissance est devenue contagieuse, et la motivation, la collaboration et la performance ont augmenté.
« Les leaders veulent souvent tout quantifier, » dit-il, « mais parfois, il faut ressentir les progrès. On le perçoit en parcourant un bâtiment : moins de plaintes, plus de sourires et des personnes qui s’entraident. C’est là que l’on sait que la culture émotionnelle fonctionne. »
3. Le côté humain du leadership
Un des enseignements les plus marquants de Randy défie les stéréotypes traditionnels du leadership. « En tant qu’hommes, on nous apprend souvent à réprimer nos émotions : avancer coûte que coûte, être fort et ne jamais montrer de faiblesse. Mais ce n’est pas ça, le leadership, » dit-il.
Le vrai leadership, selon Randy, consiste à mobiliser des qualités comme l’intuition, l’empathie et la compassion – des traits souvent considérés comme féminins. « Cela ne vous rend pas moins homme. Cela vous rend plus respecté en tant que leader, » explique-t-il.
Quand les gens se sentent en sécurité, ils s’ouvrent, collaborent et évoluent. « Le leadership ne consiste pas à imposer sa force, » souligne Randy. « Il s’agit de créer un environnement où les personnes se sentent appartenir. »
4. Enseigner l’intelligence émotionnelle
Peut-on enseigner l’intelligence émotionnelle ? « Absolument, » affirme Randy sans hésitation. « Mais d’abord, les leaders doivent traiter leur propre bagage émotionnel : déceptions, frustrations, colère. Une fois cela fait, ils peuvent vraiment écouter. »
Il souligne une vérité simple : l’intelligence émotionnelle demande du temps et de la patience pour se développer, individuellement et organisationnellement. « C’est un investissement, » explique-t-il. « Mais une fois que votre culture change, votre rôle de leader devient plus facile. Vous guidez plutôt que vous contrôlez. Votre équipe apprend à résoudre les problèmes ensemble. »
5. Le troisième élément : la pièce manquante
Pourquoi « The Third Element » ? Randy explique :
« Tout dans l’univers se divise en trois catégories : pensées, corps physique et émotions. Ce troisième élément – nos émotions – est souvent ignoré, mais c’est celui qui influence tout le reste. »
Lorsque nous libérons notre bagage émotionnel, notre pensée et nos actions deviennent plus efficaces. « Aborder le côté émotionnel de ce que nous sommes nous permet de créer de meilleurs résultats – dans les affaires, à la maison et dans nos communautés. »
6. Conclusion
Chez SalesPro4U, nous ne pourrions pas être plus d’accord. Randy Lyman nous rappelle que le leadership commence par la conscience de soi et la connexion humaine authentique. Les chiffres racontent une histoire – mais les émotions lui donnent du sens.
Que vous dirigiez une entreprise mondiale ou commenciez votre premier emploi, l’intelligence émotionnelle n’est pas une compétence « douce » : c’est une compétence de succès.
Comme le dit Randy : « Les chiffres ne dirigent pas les personnes – ce sont les personnes qui dirigent les chiffres.
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